Se faire Coacher, c’est une des clés du Succès !

Merci à Setry Rabejaona d’avoir accepté de répondre à nos questions pour témoigner de son expérience de Coaching individuel avec Olirantosoa Balza.
Qu’est-ce qui te donne envie de témoigner sur cette expérience ?
J’ai envie de témoigner de cette expérience car c’était quelque chose de nouveau, une première pour moi. On entend toujours parler à gauche à droite de « Coaching ». J’ai eu l’occasion de sauter le pas parce-que Oly est venue vers moi. Si mon témoignage peut aider d’autres à se poser la question, et leur donner envie de découvrir le Coaching, c’est tant mieux ! Sachant que faire la démarche de se faire Coacher est quelque chose qui ne vient pas forcément spontanément. Si on est malade, on sait qu’on doit aller voir le médecin. Si on a besoin d’un outil, on sait qu’on peut aller à la quincaillerie. Alors que lorsqu’on est en transition, on ne sait pas toujours qu’on peut aller voir un Coach.
Qu’as-tu découvert sur le Coaching ?
Le Coaching, par sa seule vertu de caler un espace dans mon agenda pour réfléchir sur mon parcours, rien que cela, c’était un grand plus. Autrement à aucun moment de ma vie ni de mon organisation, je n’aurais eu ce temps-là. Même si je peux dédier du temps pour mon développement personnel, par exemple pour de la lecture, je ne vais pas jusqu’à me poser seul des questions sur moi, sur ce que je suis, sur ce que je veux faire.
Le Coaching permet de casser une forme d’engrenage. Le rythme de la vie nous emmène vers des endroits, des personnes : la famille, les amis, l’université, le travail. On n’a pas de temps pour briser cet engrenage, tout se fait au gré des rencontre et des opportunités, et rarement on choisit ce qu’on veut. Le Coaching permet de sortir de cette routine. Par exemple, jamais de moi-même je n’aurais pensé à méditer. De nouvelles expériences et découvertes peuvent arriver par accident, mais avec le Coaching, on les provoque.
Y’a t il un exercice qui t’a marqué ? Pourquoi ?
L’exercice qui m’a le plus marqué était un exercice de PNL où je marchais vers ma vision. Ca m’a beaucoup marqué car c’était très personnel et à ce moment-là, on a franchi une frontière dans l’accompagnement.
Qu’as-tu appris d’intéressant sur toi, sur les autres, sur la vie, durant ce travail ?
J’ai appris des choses pratiques applicables professionnellement. Je connais mieux certains de mes biais personnels et cela m’aide aujourd’hui à faire des choix plus éclairés.
Qu’est-ce que cela a changé pour toi, concrètement ?
C’est difficile de faire un lien direct. J’ai passé la seconde sur mon activité de freelance, et mis à part le côté professionnel, l’année était assez successful. Mais il est difficile d’établir un lien direct avec le Coaching.
Qu’est-ce que tu apprécies dans la façon dont Oly coache ?
La base, c’est la confiance, la bienveillance. Oly a su me mettre à l’aise, en confiance. Elle a une bonne lecture et interprétation des choses. Elle ne se trompe pas quand elle ressent quelque chose, et amène, sans donner de réponse, vers une voie assez juste. Et c’est ça qui n’est pas facile à faire : réussir à détecter quelque chose qui n’est pas exprimé.
J’apprécie aussi la diversité des techniques et des méthodes : on ne s’ennuie pas ! Du coup je suis toujours allé de bon cœur aux séances, même si je ne savais jamais à quoi m’attendre.
Selon toi, à qui s’adresserait ce type de démarche ?
Selon moi, cette démarche est à entamer à des moments pivots, et dans des phases de transition dans la vie active. Par exemple, j’aurais eu besoin de Coaching lors de ma dernière année d’étude, avant la vie active. Aujourd’hui, c’est un nouveau besoin, c’est une forme de transition professionnelle : j’ai eu mon premier taf, maintenant je me demande vers quoi je veux aller.
Ce type de démarche s’adresse soit à des gens qui stagnent, soit à ceux qui veulent initier un changement de cap.
Que dirais-tu à quelqu’un qui hésiterait à se lancer dans cette démarche ?
L’argument le plus fort que je trouve c’est qu’on est sur-entrainé sur des choses banales et sous-entrainé sur des choses essentielles. On lit un livre pour bien cuisiner, on va sur un blog pour apprendre à gérer son argent, on suit un séminaire d’entreprise pour savoir utiliser une application ; et en revanche, on se débrouille tout seul sur des questions et des choix importants. Le Coaching permet de casser cette dynamique. Pourquoi se priver d’aide quand les enjeux sont si importants ? Le Coaching est un catalyseur, un accélérateur dont on a besoin parce-que le développement de soi et la connaissance de soi sont des enjeux clés.
Cette expérience en un mot ?
Utile
Quelles perspectives pour toi et le Coaching ?
Je me vois bien travailler à intervalle régulier avec un Coach. Avoir quelqu’un qui peut m’observer et m’accompagner, c’est un luxe. Et c’est d’autant plus important quand on prend des responsabilités. Par exemple, le Directeur de l’Hôpital Georges Pompidou, c’est important qu’il aille bien, c’est important qu’il investisse pour se connaître.
Encore un dernier mot ?
Je trouve qu’il y a une résistance naturelle supplémentaire chez les Africains et personnes issues de l’immigration à tout ce qui est « Science de l’esprit ». C’est un fait qu’il faut admettre. Pourtant, j’ai bien remarqué que certains de mes amis français, eux, se sont fait Coachés beaucoup plus tôt, et ça leur a réussi ! Des cultures sont plus avancées que la nôtre là-dessus, et il faut qu’on prenne aussi ce pli-là, pour réussir.